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 Mon futur Best Seller

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phyllali

phyllali


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MessageSujet: Mon futur Best Seller   Mon futur Best Seller Icon_minitimeSam 2 Jan - 11:51

Chapitre 1

C'etait une jeune fille qui avait ete recueillie par une ermite nommée Eloïse quand elle n’avait que quelques semaines. Elle ignorait qui etaient ses parents mais ça n'avait pas la moindre importance à ses yeux puisqu'ils n'avaient pas voulu d'elle. Mais la vie qu’elle avait connue douce jusqu’ici malgré les étranges circonstances de son arrivée en ces terres, changea du jour au lendemain avec la mort de la vieille femme. Elle abandonna tout derrière elle avec beaucoup de regrets après avoir décemment enterrée la femme qui lui avait servi de mère toutes ses années. Les larmes lui coulèrent le long des joues pendant une bonne heure alors qu'elle marchait péniblement dans la neige de décembre pour s'éloigner au plus vite de la petite maison qui abritait tant de merveilleux souvenirs.

Lena venait de vivre son seizième été. Elle avait de longs cheveux bruns qui lui tombaient au bas du dos en cascade, réhaussés par de grands yeux qui faisaient penser à deux pierres précieuses d’une brillance sans pareille. Elle avait été élevée à la « dure » dans ce petit hameau où vivait Eloïse, sa mère adoptive qui lui avait témoigné amour et protection. Elle avait un caractère difficile, ce qui lui avait valu pas mal de soucis mais elle savait se montrer suffisamment maligne pour se sortir des ennuis quand cela était nécessaire.

Elle marchait depuis des heures et ses doigts étaient meurtris par le froid ainsi que ses pieds qu’elle avait grossièrement enveloppés dans des peaux de loups qu’elle avait chassé durant les beaux jours, mais, à ce moment précis, elle préférait ne pas en rencontrer. Elle était partie en hâte après la dure besogne qu’elle avait eu à effectuer et après s’être recueillie quelques instants sur la terre fraîchement retournée où reposerait Eloïse à présent, mais, dans la précipitation et le désespoir, elle n’avait pas songer à mieux se préparer à ce voyage. Elle ignorait encore où elle allait, cependant elle ne pouvait pas rester seule au milieu des bois comme l’avait fait Eloïse durant une bonne partie de sa vie. Elle ne s’en sentait pas le courage. Vivre avec pour seule compagnie les animaux sauvages et la crainte de voir apparaître un inconnu qui en voudrait soit à ses maigres richesses soit à sa vertu, lui était insupportable.

La nuit commençait à pointer quand elle apperçu une petite demeure sans prétentions aucune. El accéléra l’allure afin d’atteindre le pas de la porte en espérant trouver quelqu’un d’assez aimable pour lui offrir l’hospitalité. Elle se séparerait de quelques peaux en guise de remerciement. Seulement la femme qui lui ouvrit la porte ne la considéra même pas et lui claqua cette dernière à la figure. Lena n’en cru pas ses yeux. Elle savait les gens égoïstes et cruels mais jamais elle n'aurait pensé se faire fermer la porte au nez de la sorte sans même avoir eu le temps de prononcer le moindre mot. Elle reprit sa route dans l’espoir de trouver une chaumière où quelqu’un de généreux pourrait lui apporter le refuge qu’elle cherchait pour passer la nuit.

Elle marcha pendant un bon moment encore à la lueur de la lune qui était, heureusement, pleine quand elle arriva à un petit village. Elle trouva ce qui lui sembla être une auberge et demanda à parler au propriétaire des lieux afin de troquer ses maigres richesses contre un repas chaud ainsi qu’un petit endroit où prendre du repos. Ce qu’il fit. A son grand soulagement, il accepta de lui donner une chambre en échange de quelques peaux de bêtes et d'une pièce d’or que lui proposa Lena. Elle l'avait économisée de ses ventes de chasse de l’été précédent afin d'acheter un présent à Eloïse. Elle soupa d’une soupe et se coucha dès le maigre repas avalé. Elle ne réussi pas à trouver le sommeil tant les images de son passé en présence d’Eloïse remontaient en surface. Cela lui paraîssait encore plus difficile d’échapper à ses souvenirs maintenant qu’elle se trouvait dans le noir que lorsqu’elle marchait dans la neige et qu’elle se préoccupait de savoir où elle pourrait dormir et se réchauffer.

Elle ouvrit péniblement les yeux sur une journée qui promettait d’être ensoleillée mais rien n’était sûr en ces temps d’hiver. Un grand soleil le matin pouvait caché une tempête de neige en milieu ou fin de journée. Elle s’acquitta de sa dette envers l’aubergiste en lui remettant les peaux ainsi que l’argent promis la veille qu'il refusa et s’engagea vers la porte quand celui-ci l’arrêta nette par le bras :

« Sais-tu au moins où tu vas, mignonne ? lui demanda-t-il affectueusement,
- Non, lui avoua Lena quelque peu gênée par la curiosité de l’homme, je l’ignore. Mais je finirais bien par trouver un lieu où me poser et trouver du travail afin de pouvoir faire face à mes besoins.
- Dans ce cas je te fais une proposition : vois-tu ma cuisinière est partie se marier et a suivi son époux loin d’ici. Je peux t’héberger et te nourrir et en échange tu fais les repas de mes clients ainsi que les nôtres jusqu’à la fin de l’hiver, qu’en penses-tu ? »

Elle ne sut quoi répondre durant quelques secondes tant elle fut surprise de la gentillesse de cet homme qui lui offrait de lui venir en aide sans qu’elle ne le lui demande. Elle ne fut cependant pas longue à accepter la proposition qui lui était faite. Tout ce qu’elle savait à ce moment précis, c’est qu’elle lui était reconnaissante de lui procurer un toit pour passer l’hiver. Elle le remercia chaleureusement de sa générosité à son égard et alla déposer ses affaires dans la chambre où elle avait passé la nuit précédente et qui le resterait jusqu’aux premières lueurs du printemps.

Elle débuta son nouvel emploi le jour même avec le dinner de toute une salle pleine de chasseurs et trappeurs en tout genre. Elle prit vite ses marques dans la cuisine tant tout était bien à sa place. L’aubergiste ne semblait pas être quelqu’un de bien riche mais il avait su équiper son établissement à merveilles. Elle cuisa des œufs et du lard une bonne partie de sa fin de matinée pour rassasier tous les clients de son bienfaiteur, qui,lui, était fière de sa jeune protégée. Il ne reçu que de compliments de la fabuleuse cuisine que faisait Lena où elle finit, après quelques jours seulement, par se forger une réputation de chef, car la plupard des hommes qui s’arrêtaient dans cette auberge pour trouver refuge durant leurs travaux dans la forêt, avaient pour habitude de manger ce qu’il chassait au dessus d’un feu de bois de fortune. Son travail était tellement apprécié que le tollier décida de lui payer un salaire en complément de ce qui avait été convenu au préalable.

Auguste était un homme robuste d’une soixantaine d’années qui avait ouvert cette auberge au début de son mariage plusieurs dizaines d’années auparavant. Sa chevelure grisonnante lui donnait l’air d’un bon gros ours en peluche plutôt que de quelqu’un qui avait passé sa vie au milieu de ces bois qui pouvaient se montrer très hostiles durant les périodes les plus froides de l’année. Il avait toujours fait preuve de gentillesse et savait aussi consoler les âmes en peine. Toute sa vie il fit confiance à la race humaine même si cela lui avait déjà jouer plus d’un tour. Mais il en avait fait sa raison de vivre même si à l’époque, ce ne fût pas de l’avis de son épouse qui finit par partir loin de lui malgré l'amour qu'elle lui témoignait.

Il avait eu du flair quand il engagea la jeune Lena. Elle faisait du très bon travail mais en plus elle savait se montrer aimable avec sa clientèle. D’aussi loin qu’il puisse se souvenir, jamais il n’avait eu autant de monde à tous les repas dans son auberge. Il n’avait même plus une seule chambre de libre et devait même refuser du monde. Tout le village venait désormais s’offrir les plats délicieux de Lena.

Les jours passèrent, puis les semaines. Tout allait pour le mieux pour la jeune fille : elle avait la sympathie d’Auguste ainsi que des gens qui défilaient dans la petite auberge toute la journée mais, quand arrivait le soir et qu’elle se retrouvait seule dans sa chambre, les souvenirs lui tenaillaient la tête.

Lena se remémora le jour où Eloïse lui raconta comment elle l’avait trouvée alors qu’elle n’était encore qu’un nourrisson :

« Ce fut par une chaude soirée d’été, dit la vieille femme, je me promenait dans les alentours de la maison pour repérer d’éventuels prédateurs avant d’aller me mettre au lit. Mais au lieu de voir un loup ou tout autre animal du même genre, j’ai entendu un cri qui venait de l’orée de notre forêt. Je me suis donc dirigée vers ce qui fut toi, lui dit-elle en lui caressant les cheveux soigneseument peignés. Tu étais enveloppé d’une simpe étole de lin et criait à pleins poumons. Au début, je n’avait aucune idée de ce que je devais faire de toi mais le temps à passer et plus tu grandissais, plus je me prenais d’affection pour toi et la suite tu la connais. Je n’ai jamais réussi à me résoudre de te voir partir ne serait-ce que pour aller chasser ! »

Eloïse avait été une femme forte de caractère, c’est en tout cas l’image que Lena s’était fait d’elle. Bien que mesurant péniblement un mètre cinquante, Eloïse savait se faire respecter par tout ceux qui l’avait cotoyé un jour ou un autre de sa vie. Elle n’avait jamais été mariée et semblait s’offusquer à chaque fois qu’un prétendant lui en avait fait la demande. Puis un jour, elle décida de quitter la grande maison de ses parents et elle finit par s’installer là pour le reste de ses jours. Lena se souvenait surtout de son regard intense, Eloïse avait les yeux noisettes presque dorés mais qui appelaient au respect. Mais à présent, Lena serait la seule à garder le souvenir de sa mère, car c’est ce qu’elle était pour la jeune fille, vivant.

Lena se rendit compte qu’elle pleurait. Puis, épuisée par la dure journée, elle finit par sombrer dans un sommeil agité par de nombreux rêves dont elle ne garderait aucun souvenir à son réveil.

Elle ouvril les yeux le lendemain, mais il lui sembla qu’elle se réveilla plus tard que d’habitude. Peut être Auguste n’eût pas besoin d’elle ce matin. Elle s’aspergea le visage d’eau fraîche qu’elle versa dans une écuelle posée sur la petite table de bois grossièrement sculptée et se vêtit rapidement. Elle se rendit dans la salle principale de l’auberge qui comptait une bonne vingtaine de tables entourées de quatre chaises chacunes. Les nappes de lin blanc avaient été soigneseument mises sur chacunes des tables la veille pour le service du midi. Elle trouva un mot écrit de la main d’Auguste sur le comptoir de la cuisinière à charbon.

« Prends du temps pour toi aujourd’hui. Je ne serais de retour qu’en fin de journée car je suis allé au ravitaillement de provisions. Bonne journée, mignonne. »

Elle en profita pour faire un tour dans la forêt. Heureusement pour elle, Lena se sortait jamais sans son arc et ses flèches car elle apperçut pleins de lièvre qu’elle s’empressa de tirer. Elle ratait rarement son coup et quand elle rentra à la nuit tombée, Auguste était déjà là, elle tenait cinq gros lièvres à la main par les oreilles. Auguste n’en cru pas ses yeux :

« Regarde Auguste, dit-elle en soulevant sa chasse à hauteur des épaules, on pourrait en faire des pâtés.
- Bonne idée, lui répondit-il encore stupéfait par l’assurance de la jeune fille. Les clients seront sûrement ravis de manger quelque chose de nouveau. »

Elle alla les déposer soigneseument dans un bac qu’elle remplit au préalable de neige afin de les préserver au mieux jusqu’au lendemain. Car si elle s’aventurait à les laisser à l’extérieur, les loups et autres animaux carnivores n’auraient pas laissé de telles proies à leur portée sans se servir.

Ils passèrent la soirée comme un vieux couple au fond de la cuisine tout d’abord afin de se restaurer, et au coin du feu ensuite où Auguste lui lu un passage de son livre préféré qu’elle appréciait beaucoup aussi du temps où Eloïse lui lisait ce même livre quand elle était encore qu’une toute jeune enfant. Puis ils allèrent se coucher et la farandole des souvenirs de Lena reprit sa ronde.

C’est Eloïse qui lui apprit à tirer à l’arc quand elle ne devait avoir que cinq ou six ans afin de pouvoir se défendre dès qu’elle sortait de la maison. Avant cela, elle n’avait en aucun cas, le droit de s’éloigner de la vieille femme à plus de deux ou trois mètres de distance. Elle se souvient qu’un jour un homme avait fait irruption devant la maison lorsqu’elles revennaient d’une promenade et les avait menacé de les tuer si Eloïse ne lui donna pas toutes ses pièces d’or. En deux temps trois mouvements, Eloïse délesta l’homme du couteau avec lequel il les menaçait toutes deux et le jeta à terre avant de lui crier de déguerpir en vitesse avant qu’elle ne lui taille les oreilles en pointe. L’homme s’éxécuta sans un mot et elles ne le revirent jamais plus dans les parages.

A la seule pensée du visage de l’homme qui fut menacé par la petite femme, Lena esquissa un sourire. Puis elle ferma les yeux et s’endormit presque aussitôt. Elle passa une nuit paisible, une depuis si longtemps qu’elle ne se souvenait pas la dernière nuit où elle avait dormi aussi profondément. Ce sont des bruits de casse dans la salle principale qui la tira violemment du lit. Elle sauta à terre et se vêtit rapidement d’une chemise longue de soie d’une blancheur immaculée et se munit de son arc qui dormait touours à la tête de son lit comme le lui avait enseigné Eloïse. Elle se précipita dans la salle et y découvrit un homme de haute taille qui se tenait les côtes :

« Que faites-vous ici ? hurla-t-elle à l’homme qui fit un léger bond sous l’effet de la surprise,
- J’ai été attaqué par une bande de brigands, répondit-il en se retournant sur Lena qui pointait l’une de ses flèches sur lui,
- Et vous entrez comme ça, sans crier gare, chez les gens ?
- Je suis désolé, mais je n’ai pas eu le choix, je ne pouvais m’en défaire qu’à condition de trouver quelque part où me cacher. Maintenant ils doivent être parti. Je vais m’en aller. »

C’est à ce moment précis qu’Auguste fit son apparition dans la pièce. Lena abaissa son arc et le rejoignit en lui chuchotant la raison de la présence de cete homme dans l’auberge. Auguste paraissait totalement paniqué mais les paroles de Lena le rassura.
L’homme se présenta sous le nom de Ethan. Il ne devait pas avoir lus d’une vingtaine d’années. Son visage aux traits fins laissait deviner un homme calme et posé. Ses cheveux courts et blonds reflétaient le soleil et ses yeux bleus avaient la teinte de l’océan quand il n’y avait aucune vague à l’horizon.
Auguste l’invita à s’assoir et demanda à Lena de lui apporter un peu d’eau chaude pendant qu’Auguste alla chercher des linges et de l’alcool afin de soigner la plaie béante au niveau des côtes d’Ethan. Lena revint avec une pleine caraffe d’une eau claire et fraîche et en servit un grand verre à Ethan. Auguste prit un viex drap et en fit les bandes afin de panser le pauvre jeune homme et tout en discutant Auguste lui apporta tous les soins nécessaires.
Lena s’était absentée et quand elle revint enfin, c’était avec un plateau : une assiette lein de lard et des œufs étaient disosés dans une grande assiette. Elle avait aussi disposé deux verres et une bouteille de vin. Les deux hommes l’accueuillèrent avec de grands sourires et Auguste la félicita de cette idée fantastique qu’elle avait eu de leur préparer ainsi un encas. Une fois les deux hommes rassasié ainsi qu’un peu éméché, Lena emmena Ethan jusqu’à une petite chambre qu’elle venait de préparer.
Ethan passa une mauvaise nuit dûe à la douleur qui lui martelait la poitrine, cela devait sûrement venir de la préparation à base de plante que lui avait appliqué Auguste avant de lui serrer le torse dans des linges humides afin de faire pénétrer la curieuse pâte. Il repensa à la folle journée qu’il venait de passer, mais la plus belle chose fut cette vision comme venue d’un autre monde : le visage de Lena et sur ce fait il s’endormit enfin.
Une douce odeur de café et de pain chaud tira Ethan de sa torpeur. Lena lui avait déposé un plateau contenant son petit déjeuner qu’il s’empressa d’avaler. Puis il la retrouva dehors à couper du bois pour chauffer la salle à manger de l’auberge. Jamais il n’avait vu une aussi jeune fille manier la hache avec autant de précision. Elle était forte pour une enfant de cet âge, pensa-t-il, et ne manquait pas de cran comme il en avait eu la preuve la veille au soir dès qu’il fit irruption dans la petite auberge. Elle lui tendit quelques bûches à ramener à l’intérieur dès qu’elle s’aperçut de sa présence, puis elle planta le hache dans le tronc d’arbre puis le suivi. Elle se mit à ses tâches quotidiennes tandis qu’Ethan allumait un feu dans la cheminée.
Auguste dormait encore quand Lena accueillit le premier client de la journée, quant à Ethan, il essaya de donner un coup de main comme il pût afin de soulager Lena des travaux les plus difficiles malgré la douleur lancinante de sa poitrine. Lena, le voyant se soutenir le torse, l’invita à aller s’asseoir mais il refusa net la proposition de la jeune fille qui commençait à avoir le feu aux joues de colère.
« Tu ne fais jamais ce qu’on te demande ? dit-elle,
- Si, je n’ai pas du tout l’envie de me reposer pendant que tu travailles. En fait, je veux t’aider afin de m’acquitter de ma dette envers toi et le patron pour m’avoir porté secours. »
Elle ne sut quoi lui répondre et se remit à la tâche sans même lui jeta un regard. Elle servit un café et des œufs à son client qu’il dégusta jusqu’à la dernière bouchée. Ce n’est qu’après le départ de celui-ci que l’on vit Auguste avec sa tête des mauvais jours. Ca ne lui arrivait pas souvent de se lever aussi tard et Lena apperçut ce qu’elle craignait depuis quelque temps déjà : il commençait à souffrir de son âge. Les articulations de l’homme lui faisaient de plus en plus mal et ses muscles se rappelaient à lui lorsqu’il faisait un mouvement trop brusque.
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